Premier Congrès Africain tortues marines : plus fort ensemble pour protéger ces espèces en danger
Événement Biodiversité
Début mars 2022, s’est tenu à Cotonou au Bénin le premier Congrès dédié aux tortues marines d’Afrique atlantique et méditerranéenne. Un pas de géant pour la dynamique régionale de conservation de ces espèces menacées, sous l’impulsion des organisations de la société civile, et en étroite collaboration avec les institutions publiques et les acteurs privés.
La ville de Cotonou au Bénin a accueilli, du 7 au 12 mars, le tout premier Congrès africain consacré aux tortues marines. Un événement qui a rassemblé plus de 70 participants de 17 pays d’Afrique de l’Ouest, d’Afrique centrale et d’Afrique du Nord.
Trois réseaux d’Organisations de la Société Civile (OSC) sont à l’initiative : RASTOMA, le Réseau des Acteurs de la Sauvegarde des Tortues Marines en Afrique centrale, WASTCON, West African Sea Turtle Conservation Network, et NAST-Net, North African Sea Turtle Network.
Ensemble, ces trois réseaux frères, viennent mutualiser leurs expériences du terrain et convenir d’un agenda régional de conservation des tortues marines. Des personnes ressources : académiques et institutionnelles, spécialistes de la biodiversité côtière, partenaires techniques et financiers, sont également invitées à prendre part à la dynamique.
Le congrès s’est déroulé sur une semaine. Au programme : la tenue des Assemblées Générales des deux réseaux WATSCON et RASTOMA, suivi d’un panorama des initiatives de terrain. Pour diffuser les approches qui ont fait leurs preuves et apprendre aussi des échecs. Des moments forts d’échanges d’expériences, complétés par un atelier stratégique pour construire un plan d’action des OSC pour la façade Atlantique de l’Afrique. Puis trois jours d’ateliers, de conférences et de renforcement des capacités au bénéfice des acteurs des 3 réseaux de protection des tortues marines.
Relever ensemble le défi de la survie des tortues marines menacées en Afrique
Les priorités de ce premier Congrès à trois réseaux : identifier les enjeux les plus urgents pour la conservation des tortues marines en Afrique, et se coordonner pour apporter des réponses efficaces.
Cette rencontre est un moment fort de la dynamique associative de protection des tortues marines. Car elle permet :
• de renforcer les capacités des acteurs de terrain
• de diffuser les approches efficaces et les bonne pratiques de conservation
• de consolider l’organisation et la gouvernance des réseaux
• de stimuler les dynamiques collaboratives
• d’insérer cette dynamique issue de la société civile dans le jeu d’acteur institutionnel
Ce Congrès tortues marines est le premier d’une telle ampleur en Afrique. Nous souhaitons qu’il marque le point de départ d’un nouvel élan où la société civile sert de courroie d’entrainement pour accélérer le changement. Initié par la société civile organisée en réseau, il engage une évolution profonde des approches de protection de la biodiversité marine et côtière en Afrique, centrées sur l’implication des communautés côtières, la complémentarité des acteurs et une conservation fondée sur la science.
Rendez-vous est déjà pris pour le prochain congrès 3 réseaux tortues marines : il aura lieu en Tunisie en 2024 !
Événement Biodiversité
Début mars 2022, s’est tenu à Cotonou au Bénin le premier Congrès dédié aux tortues marines d’Afrique atlantique et méditerranéenne. Un pas de géant pour la dynamique régionale de conservation de ces espèces menacées, sous l’impulsion des organisations de la société civile, et en étroite collaboration avec les institutions publiques et les acteurs privés.
La ville de Cotonou au Bénin a accueilli, du 7 au 12 mars, le tout premier Congrès africain consacré aux tortues marines. Un événement qui a rassemblé plus de 70 participants de 17 pays d’Afrique de l’Ouest, d’Afrique centrale et d’Afrique du Nord.
Trois réseaux d’Organisations de la Société Civile (OSC) sont à l’initiative : RASTOMA, le Réseau des Acteurs de la Sauvegarde des Tortues Marines en Afrique centrale, WASTCON, West African Sea Turtle Conservation Network, et NAST-Net, North African Sea Turtle Network.
Ensemble, ces trois réseaux frères, viennent mutualiser leurs expériences du terrain et convenir d’un agenda régional de conservation des tortues marines. Des personnes ressources : académiques et institutionnelles, spécialistes de la biodiversité côtière, partenaires techniques et financiers, sont également invitées à prendre part à la dynamique.
Le congrès s’est déroulé sur une semaine. Au programme : la tenue des Assemblées Générales des deux réseaux WATSCON et RASTOMA, suivi d’un panorama des initiatives de terrain. Pour diffuser les approches qui ont fait leurs preuves et apprendre aussi des échecs. Des moments forts d’échanges d’expériences, complétés par un atelier stratégique pour construire un plan d’action des OSC pour la façade Atlantique de l’Afrique. Puis trois jours d’ateliers, de conférences et de renforcement des capacités au bénéfice des acteurs des 3 réseaux de protection des tortues marines.
Relever ensemble le défi de la survie des tortues marines menacées en Afrique
Les priorités de ce premier Congrès à trois réseaux : identifier les enjeux les plus urgents pour la conservation des tortues marines en Afrique, et se coordonner pour apporter des réponses efficaces.
Cette rencontre est un moment fort de la dynamique associative de protection des tortues marines. Car elle permet :
• de renforcer les capacités des acteurs de terrain
• de diffuser les approches efficaces et les bonne pratiques de conservation
• de consolider l’organisation et la gouvernance des réseaux
• de stimuler les dynamiques collaboratives
• d’insérer cette dynamique issue de la société civile dans le jeu d’acteur institutionnel
Ce Congrès tortues marines est le premier d’une telle ampleur en Afrique. Nous souhaitons qu’il marque le point de départ d’un nouvel élan où la société civile sert de courroie d’entrainement pour accélérer le changement. Initié par la société civile organisée en réseau, il engage une évolution profonde des approches de protection de la biodiversité marine et côtière en Afrique, centrées sur l’implication des communautés côtières, la complémentarité des acteurs et une conservation fondée sur la science.