Dr Joana Hancock a poursuivi le rêve de travailler avec la vie marine depuis son adolescence et est devenue biologiste de la conservation des tortues marines en 2002. Après avoir rejoint son premier projet sur les tortues marines en Crète, en Grèce, il n’y avait plus de retour en arrière. De 2003 à 2009, Joana a coordonné ou assisté plusieurs projets WIDECAST et Smithosonian au Costa Rica et au Panama. Travaillant avec des tortues luth, des verts et des tortues imbriquées, les projets ont surveillé la nidification et effectué des recherches dans l’eau.

Après cela, Joana s’est rendue au Cap-Vert en Afrique de l’Ouest en 2009 pour coordonner un projet de conservation de la caouanne. La récolte non réglementée de tortues marines a motivé Joana à mener sa thèse de maîtrise sur le commerce illégal de cette espèce dans cet archipel avec l’Université d’Exeter.

Joana a ensuite déménagé aux îles de São Tomé et Príncipe en 2012 pour effectuer son doctorat. Son objectif était d’aider les projets en cours à évaluer et à améliorer leurs stratégies de conservation et de recherche. Cela a été fait en menant une évaluation multi-approches sur l’état de conservation des tortues marines présentes dans l’archipel. Se concentrant sur la distribution des espèces et l’écologie d’étapes de vie peu connues telles que les tortues de mer juvéniles et mâles, elle a utilisé des marqueurs génétiques, des isotopes stables et la modélisation des populations,

Joana est actuellement membre du réseau de conservation des tortues marines d’Afrique centrale (RASTOMA) collaborant avec des projets à São Tomé et Príncipe, au Cameroun, en République du Congo, entre autres.

Joana a rejoint ORP à Diani Beach au Kenya en novembre 2018. Elle a participé en tant que biologiste des tortues marines à la première évaluation dans l’eau des tortues vertes et imbriquées sur les récifs du Kenya. En outre, elle a soutenu les initiatives locales sur les tortues marines selon les besoins. En tant que chef de projet – Kenya, Joana outre-mer notre assistante de surveillance des tortues marines sur place et travaille à étendre la présence de ORP au Kenya grâce à la collaboration avec des ONG locales et des organisations de conservation.